Vous connaissez tous, sans aucun doute la légende de l’ours bleu, cet
insaisissable animal qui vit dans la majestueuse forêt d’Ashenvale et
hante les rêves des plus grands chasseurs d’Azeroth.
Quel tauren ne s’est pas exclamé, lors de ses premières chasses sur les
collines dorées de Mulgore : « Un jour vous verrez, je vous remmènerai
la peau de l’ours bleu ! » Aujourd’hui toutefois c’est l’histoire d’un
nain intrépide que je vais vous conter. Notre Brave chasseur empruntât
un matin de printemps, comme ses frères d’armes avant lui, la route bien
connue d’Ashenvale, à travers les cluses gelées des contreforts de la
montagne d’Ironforge, le long du loch voisin et des marais de Menethil,
pour prendre un bateau en partance vers Auberdine. Sirotant sa bière sur
la poupe du navire, il s’imaginait rentrer dans son village natal,
portant sur le dos la légendaire [Cape de l’ours bleu] tant convoitée.
Le voyage entre Auberdine et Astranaar ne fut certes pas de tout repos,
tant le elfe de la nuit se moquait de sa barbe et de son gros derche,
mais comme on dit, le train de leurs sarcasmes glissait lamentablement
sur le rail de l’indifférence du nain car pour lui, la chasse avait déjà
commencé, et sa décision était prise. A astranaar, il se reposa de son
long voyage et partit dés le lendemain pour le célèbre petit lac, où
l’on avait si souvent aperçu la bête.
Cinq heures et demi du matin, assis sur son trépied de chasseur, le nain
observait le lac, son fidèle fusil à l’épaule, chargé de balles en
mithril fraîchement forgées. Soudain, lorsque s’élevèrent les premiers
rayons du soleil au dessus des serres rocheuses non loin, l’ours
apparut. C’était une bête énorme qui se dressait de toute sa hauteur en
étirant ses longues pâtes avant en l’air et présentant son
impressionnante dentition dans un gargantuesque bâillement sonore qui
fit trembler la forêt alentour et fuir les oiseaux à peine réveillés.
L’ours se mit alors à marcher tranquillement sur ses pâtes arrière en
entonnant un petit air décontracté et le nain, quelque peu ébahit par
cet étrange spectacle, attendit qu’il aille boire dans le lac pour faire
feu. C’est au moment ou le large museau se penchât sur la surface de
l’eau qu’une visée critique retentit plus fort encore que le précédent
bâillement, faisant s’envoler un peu plus loin les pauvres oiseaux qui
n’avait pas eu le temps de se rendormir. La balle fila dans l’air telle
un éclair mais pas assez rapidement pour surprendre l’ours. Celui-ci,
fort de ses légendaire réflexes se releva d’un bond et saisi le
projectile entre ses doigts avant de pousser un rugissement rageur en
direction de la source du coup de feu.
Bien sur, le nain laissa tout sur place et prit ses jambes à son cou !
On l’avait prévenu qu’il ne fallait pas faire chier l’ours bleu au
réveil. Ce dernier grimpât prestement le long de la colline au sommet de
lequel le trépied gisait encore et rattrapât le pauvre chasseur en
quelques bonds, malgré son aspect de guépard. Il le saisi par la
ceinture et le planqua contre terre, puis dégrafa son pantalon en cuir
avant de le sodomiser avec force, et sans considérer aucunement les
plaintes aiguës du pauvre nain. Il le culbutât encore une bonne minute
avant de le jeter à terre comme un bout de papier toilette usagé et s’en
allât tout simplement à ses affaires.
Quelques heures plus tard, les elfes d’Astranaar vinrent le chercher et
le tirèrent par la barbe jusqu'à l’auberge où il reçut des soins. Une
bonne quinzaine de bandages en étoffe runique enfermaient ses hanches et
il évitât, pendant sa convalescence de manger trop pour ne pas avoir à
faire usage de son douloureux rectum. Quatre jours plus tard, les
blessures allaient mieux et il décidât de retourner sur les lieux,
équipé cette fois de son épique canon à main nain, et de quelques obus
en thorium.
Cinq heure et demi du matin, le lendemain, assis tant bien que mal sur
son petit trépied de chasse, avec force coussin, il attendait au bord du
petit lac que le soleil se lève, décidé cette fois à ne laisser aucun
répit à son ennemi. Le soleil se levât soudain au dessus des montagnes
et, aussi synchrone que la dernière fois, l’immense ours bleu apparut de
derrière son rocher, s’étirant et baillant encore plus fort que dans les
souvenirs du chasseur dont la douloureuse plaie se réveillât pour
l’occasion. Sifflotant son petit air habituel, l’ours s’approchait
tranquillement du petit lac, et le nain pouvait presque apercevoir son
sourire satisfait et joyeux.
« Va y, bois dans ton putain de lac, salopard ! » Et lorsqu’il but, le
tonnerre grondât à l’intérieur de l’énorme canon qui projetât son obus
menacent à une vitesse folle, en pleine tête de l’ours. Mais la rapidité
de la bête fut encore trop grande et il se relevât d’un bond pour saisir
dans ses mains l’énorme missile qui s’arrêtât net ! Il le lâcha dans
l’herbe en même temps qu’un rugissement inhumain dans lequel on aurait
tout de même presque put entendre « Rahhh putain !!! » et s’élançât sur
la pente où le nain tentait déjà de fuir.
En quelques bonds l’ours fut sur lui et le saisi par les bandages,
arrachant de ses griffes les étoffes runiques serrées, déchirant les
fils de sutures, puis enculât le nain avec la même force et la même rage
que la dernière fois. Le nain gémit et hurlât un moment avant de
s’évanouir, puis se réveillât à l’auberge d’Astranaar avec un mal au cul
qui devait devenir légendaire. L’ours l’avait laissé là comme un bout de
papier toilette usagé et les elfes l’avaient tiré par la barbe jusqu’ici.
L’étoffe runique n’y suffit plus, il fut intégralement plâtré. Quelques
prêtres lui administraient des soins réguliers et il ne mangeait plus
rien étant donné les dégâts qu’avait subit son sphincter. Deux semaines
plus tard, il donnât ses ultimes ordres :
« Demain matin, vous aller me poser en haut de cette putain de colline,
avec les bâtons de dynamite Ev-lan qui sont dans mon sac, et vous
pourrez me laisser là, je m’occupe du reste. »
Cinq heure et demi du matin, le ciel était dégagé, le soleil n‘allait
plus tarder à refléter ses doux rayons sur la surface émeraude du petit
lac, et notre brave nain était là, fidèle au poste, et attendait son
heure, n’ayant que faire des élémentaires d’eau qui rodaient alentour.
Soudain, en même temps que les premiers jets de lumière, l’énorme
silhouette bleue s’étendit de tout son long au dessus du petit rocher où
la bête dormait. L’ours baillât encore plus fortement que les deux
premières fois et semblât voir le chasseur, en haut de la colline, comme
si il s’était attendu à l’y trouver. Il fit lentement le tour du petit
lac et entonnant son air joyeux, marchand comme un troubadour d’un air
décontracté sur ses pâtes arrière. Notre bon nain, incrédule, laissât
s’approcher la bête sans rien y comprendre.
« C’est ça viens ici, ça me facilité la tâche ! »
Mais l’ours fit quelques signes comme si il voulait faire une trêve, ou
négocier, et le nain, tenant fermement dans sa main les goupilles de ses
dynamites, le laissât venir. L’ours se penchât au dessus du nain, couché
tel un saucisson dans son plâtre géant, et demandât d’une voix
parfaitement intelligible et avec un sourire coquin :
« Dis donc toi, t’es sûr que t’es venu ici pour chasser ? »
Alaarik tu aurais pu nous raconter ce malheureux "épisode" faisant parti de tes grandes chasses épiques
insaisissable animal qui vit dans la majestueuse forêt d’Ashenvale et
hante les rêves des plus grands chasseurs d’Azeroth.
Quel tauren ne s’est pas exclamé, lors de ses premières chasses sur les
collines dorées de Mulgore : « Un jour vous verrez, je vous remmènerai
la peau de l’ours bleu ! » Aujourd’hui toutefois c’est l’histoire d’un
nain intrépide que je vais vous conter. Notre Brave chasseur empruntât
un matin de printemps, comme ses frères d’armes avant lui, la route bien
connue d’Ashenvale, à travers les cluses gelées des contreforts de la
montagne d’Ironforge, le long du loch voisin et des marais de Menethil,
pour prendre un bateau en partance vers Auberdine. Sirotant sa bière sur
la poupe du navire, il s’imaginait rentrer dans son village natal,
portant sur le dos la légendaire [Cape de l’ours bleu] tant convoitée.
Le voyage entre Auberdine et Astranaar ne fut certes pas de tout repos,
tant le elfe de la nuit se moquait de sa barbe et de son gros derche,
mais comme on dit, le train de leurs sarcasmes glissait lamentablement
sur le rail de l’indifférence du nain car pour lui, la chasse avait déjà
commencé, et sa décision était prise. A astranaar, il se reposa de son
long voyage et partit dés le lendemain pour le célèbre petit lac, où
l’on avait si souvent aperçu la bête.
Cinq heures et demi du matin, assis sur son trépied de chasseur, le nain
observait le lac, son fidèle fusil à l’épaule, chargé de balles en
mithril fraîchement forgées. Soudain, lorsque s’élevèrent les premiers
rayons du soleil au dessus des serres rocheuses non loin, l’ours
apparut. C’était une bête énorme qui se dressait de toute sa hauteur en
étirant ses longues pâtes avant en l’air et présentant son
impressionnante dentition dans un gargantuesque bâillement sonore qui
fit trembler la forêt alentour et fuir les oiseaux à peine réveillés.
L’ours se mit alors à marcher tranquillement sur ses pâtes arrière en
entonnant un petit air décontracté et le nain, quelque peu ébahit par
cet étrange spectacle, attendit qu’il aille boire dans le lac pour faire
feu. C’est au moment ou le large museau se penchât sur la surface de
l’eau qu’une visée critique retentit plus fort encore que le précédent
bâillement, faisant s’envoler un peu plus loin les pauvres oiseaux qui
n’avait pas eu le temps de se rendormir. La balle fila dans l’air telle
un éclair mais pas assez rapidement pour surprendre l’ours. Celui-ci,
fort de ses légendaire réflexes se releva d’un bond et saisi le
projectile entre ses doigts avant de pousser un rugissement rageur en
direction de la source du coup de feu.
Bien sur, le nain laissa tout sur place et prit ses jambes à son cou !
On l’avait prévenu qu’il ne fallait pas faire chier l’ours bleu au
réveil. Ce dernier grimpât prestement le long de la colline au sommet de
lequel le trépied gisait encore et rattrapât le pauvre chasseur en
quelques bonds, malgré son aspect de guépard. Il le saisi par la
ceinture et le planqua contre terre, puis dégrafa son pantalon en cuir
avant de le sodomiser avec force, et sans considérer aucunement les
plaintes aiguës du pauvre nain. Il le culbutât encore une bonne minute
avant de le jeter à terre comme un bout de papier toilette usagé et s’en
allât tout simplement à ses affaires.
Quelques heures plus tard, les elfes d’Astranaar vinrent le chercher et
le tirèrent par la barbe jusqu'à l’auberge où il reçut des soins. Une
bonne quinzaine de bandages en étoffe runique enfermaient ses hanches et
il évitât, pendant sa convalescence de manger trop pour ne pas avoir à
faire usage de son douloureux rectum. Quatre jours plus tard, les
blessures allaient mieux et il décidât de retourner sur les lieux,
équipé cette fois de son épique canon à main nain, et de quelques obus
en thorium.
Cinq heure et demi du matin, le lendemain, assis tant bien que mal sur
son petit trépied de chasse, avec force coussin, il attendait au bord du
petit lac que le soleil se lève, décidé cette fois à ne laisser aucun
répit à son ennemi. Le soleil se levât soudain au dessus des montagnes
et, aussi synchrone que la dernière fois, l’immense ours bleu apparut de
derrière son rocher, s’étirant et baillant encore plus fort que dans les
souvenirs du chasseur dont la douloureuse plaie se réveillât pour
l’occasion. Sifflotant son petit air habituel, l’ours s’approchait
tranquillement du petit lac, et le nain pouvait presque apercevoir son
sourire satisfait et joyeux.
« Va y, bois dans ton putain de lac, salopard ! » Et lorsqu’il but, le
tonnerre grondât à l’intérieur de l’énorme canon qui projetât son obus
menacent à une vitesse folle, en pleine tête de l’ours. Mais la rapidité
de la bête fut encore trop grande et il se relevât d’un bond pour saisir
dans ses mains l’énorme missile qui s’arrêtât net ! Il le lâcha dans
l’herbe en même temps qu’un rugissement inhumain dans lequel on aurait
tout de même presque put entendre « Rahhh putain !!! » et s’élançât sur
la pente où le nain tentait déjà de fuir.
En quelques bonds l’ours fut sur lui et le saisi par les bandages,
arrachant de ses griffes les étoffes runiques serrées, déchirant les
fils de sutures, puis enculât le nain avec la même force et la même rage
que la dernière fois. Le nain gémit et hurlât un moment avant de
s’évanouir, puis se réveillât à l’auberge d’Astranaar avec un mal au cul
qui devait devenir légendaire. L’ours l’avait laissé là comme un bout de
papier toilette usagé et les elfes l’avaient tiré par la barbe jusqu’ici.
L’étoffe runique n’y suffit plus, il fut intégralement plâtré. Quelques
prêtres lui administraient des soins réguliers et il ne mangeait plus
rien étant donné les dégâts qu’avait subit son sphincter. Deux semaines
plus tard, il donnât ses ultimes ordres :
« Demain matin, vous aller me poser en haut de cette putain de colline,
avec les bâtons de dynamite Ev-lan qui sont dans mon sac, et vous
pourrez me laisser là, je m’occupe du reste. »
Cinq heure et demi du matin, le ciel était dégagé, le soleil n‘allait
plus tarder à refléter ses doux rayons sur la surface émeraude du petit
lac, et notre brave nain était là, fidèle au poste, et attendait son
heure, n’ayant que faire des élémentaires d’eau qui rodaient alentour.
Soudain, en même temps que les premiers jets de lumière, l’énorme
silhouette bleue s’étendit de tout son long au dessus du petit rocher où
la bête dormait. L’ours baillât encore plus fortement que les deux
premières fois et semblât voir le chasseur, en haut de la colline, comme
si il s’était attendu à l’y trouver. Il fit lentement le tour du petit
lac et entonnant son air joyeux, marchand comme un troubadour d’un air
décontracté sur ses pâtes arrière. Notre bon nain, incrédule, laissât
s’approcher la bête sans rien y comprendre.
« C’est ça viens ici, ça me facilité la tâche ! »
Mais l’ours fit quelques signes comme si il voulait faire une trêve, ou
négocier, et le nain, tenant fermement dans sa main les goupilles de ses
dynamites, le laissât venir. L’ours se penchât au dessus du nain, couché
tel un saucisson dans son plâtre géant, et demandât d’une voix
parfaitement intelligible et avec un sourire coquin :
« Dis donc toi, t’es sûr que t’es venu ici pour chasser ? »
Alaarik tu aurais pu nous raconter ce malheureux "épisode" faisant parti de tes grandes chasses épiques
